Le dit de l’image : un jour, une œuvre, un mot.
Comme une éphéméride du sensible,
une image quotidienne assortie d’un mot, d’une phrase, ou pas.

Sans titre, 1970-1971, Pierre Tal Coat (1905-1985), Lavis sur papier, 29.7 x 21 cm
«(…) je sens tressaillir en moi quelque chose qui se déplace, voudrait s’élever, quelque chose qu’on aurait désancré, à une grande profondeur ; je ne sais ce que c’est, mais cela monte lentement ; j’éprouve la résistance et j’entends la rumeur des distances traversées.»
Marcel Proust, Du côté de chez Swann (1913)
Ce lavis a été présenté par la Galerie Françoise Livinec, ici
On peut admirer les peintures de Pierre Tal Coat au Domaine de Kerguéhennec qui en présente une très belle collection, là
Et aussi là, 2017 : « Année Tal Coat », le programme …
et un nouvel ouvrage de Jean-Pascal Léger aux Éditions Somogy que l’on peut feuilleter…
Et un autre livre du même auteur dans la belle maison L’atelier contemporain, ici