Le dit de l’image : un jour, une œuvre, un mot.
Comme une éphéméride du sensible,
une image quotidienne assortie d’un mot, d’une phrase, ou pas
La tempête, 1880, Pierre-Auguste Cot (1837–1883), Huile sur toile, 234.3 x 156.8 cm, New York, The MET (Metropolitan Museum of Art).
« Si nous disions le centième des rêves que fait un honnête homme, ou des étranges ardeurs qui passent dans le corps d’une femme chaste, on crierait au scandale. »
Romain Rolland (1866-1944), Jean-Christophe, Le Buisson ardent, 1911.
Une pincée d’académisme pompier de temps à autre, j’adore ça !
Pierre-Auguste Cot (1837–1883) fut l’élève de William Bougereau et Alexandre Cabanel à l’École des Beaux Arts de Paris…
En savoir plus sur Jean-Christophe, le roman fleuve de Romain Rolland, réédité chez Albin Michel en 2008 en lisant un papier de Paul-François Paoli, ici
fragments de sens 
Tremois-Chazot
Je ne connaissais pas ce peintre mais je trouve ce tableau d’un romantisme fou.
Un peu ringard peut être mais vers ou va ce couple charmant et vers quel destin?
Encore merci de te donner la peine de nous ouvrir à de nouveaux univers
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Barbara
Selon certains critiques du salon de 1880 où le tableau fut présenté, les protagonistes auraient été inspirés par Paul et Virginie – héros du roman de Bernardin de Saint Pierre (1737-1814). D’autres y virent Daphnis et Chloé – héros du roman de Longus un écrivain grec du IIe ou IIIe siècle….
Merci de me suivre chère Dominique !
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