Une tradition détournée, une petite étude de la représentation des attitudes des mains des femmes par les artistes. Une série d’ex-voto de gestes, de ces mains féminines touchantes et touchées.
Aujourd’hui une histoire sans paroles des mains d’Ève tenant le fruit défendu…
La chute de l’homme, après 1479, Hugo van der Goes (vers 1440-1482), huile sur chêne, musée d’Histoire de VienneThe Fall of Man, 1610, Pietro Mera (1570-1644), huile sur toile, 142 x 106 cm, Baltimore, Walters Art Museum
Le jardin d’Eden avec la chute de l’homme, vers 1615, Pieter Paul Rubens (1577-1640), La Haye, Mauritshuis
Ève, 1507, Albrecht Dürer (1471-1528), huile sur panneau, 209 x 80 cm, Madrid, museo del Prado < > Ève, 1533, Lucas Cranach the Elder (1472–1553), huile sur panneau, 105,7 x 36,4 cm, The Art Institute of ChicagoDétail Ève, L’Adoration de l’Agneau mystique, Jan & Hubert Van EycK, achevé en 1432, polyptyque peint sur bois, Gand, cathédrale Saint-Bavon
Adam et Ève, vers 1550, Le Titien (1488-1576), huile sur toile, 240 x 186 cm, Madrid , museo del Prado < > Adam et Ève, vers 1628, Pierre Paul Rubens (1577-1640), huile sur toile, Madrid museo del Prado
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Geneviève à la pomme, 1937,1938, André Derain (1880-1954), huile sur toile, Collection particulière
fragments de sens 